Au début, je n’ai pas compris ce que je vivais...
- Muriel Levistre

- 14 oct.
- 1 min de lecture

Tout était si évident, si fluide, si naturel.
Ce lien s’est imposé comme une évidence silencieuse, une reconnaissance d’âme immédiate.
Rien à prouver, rien à justifier — simplement être, ensemble, dans une vibration qui dépassait les mots.
Ce n’était pas un amour au sens habituel.
C’était un amour d’âme, pur, sans attente ni peur.
Une résonance si profonde qu’elle semblait effacer les frontières du temps, du genre, de l’âge ou du corps.
Je reconnaissais l’autre comme une part de moi, une présence familière que je portais déjà en moi.
Ce lien m’a ramené·e à l’essentiel.
Il m’a invité·e à me voir, à m’accueillir, à m’aimer sans condition.
À travers lui, j’ai rencontré mes ombres, mes forces, mes vérités.
Il n’a pas cherché à me sauver ni à me compléter, il m’a simplement révélé·e à moi-même.
Ce lien n’appartient à aucune forme, à aucune étiquette.
Il traverse les âmes, les histoires, les incarnations.
Il parle un langage universel : celui de la reconnaissance, de la conscience et de l’Amour.
Aujourd’hui, je sais que ce lien est sacré.
Il ne m’a pas été donné pour être compris, mais pour être vécu.
Et dans cette expérience, j’ai découvert l’unité — non pas dans la fusion avec l’autre, mais dans la paix retrouvée en moi.
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